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Est-il prudent de courir encore après 50 ans ?

En fait, « courir », pour l’homme est une seconde nature. On peut dire que c’est acquis dès sa naissance. Pour circuler, ou aller d’un endroit à un autre, cette activité est indispensable.  Elle est même obligatoire des fois. La course semble bien être naturelle à l’homme. Par ailleurs, courir semble être laissé aux oubliettes à cause du progrès de la technologie. C’est certain qu’on est toujours pressé à cause des différentes obligations que nous impose la vie. C’est pour cette raison que l’homme cherche un moyen plus approprié c’est-à-dire plus rapide pour s’y rendre, à son travail ou ailleurs. Ou l’utilisation des moyens techniques mieux adaptés, tout cela diminue l’utilisation de la locomotion naturelle qu’est les pieds. Les hommes des siècles passées font en moyenne 10 à 16km par jour, tandis que nous ; nous ne parcourant même pas la moitié de celle-ci seulement en moyenne 2,4km par jour. Il est vrai que l’aptitude à courir ne peut pas durer toute la vie mais au moins elle peut durer pendant un certain temps. Le problème est que, la plupart de l’homme ne pense plus à étendre et donner de l’ampleur à ce moyen naturel dont nous possédons. Vu la situation actuelle, cette activité semble difficile et de désagréable pour certaines personnes. On remarque surtout cette régression du succès de ce moyen par l’effet de l’âge. Au fur et à mesure qu’on vieilli, on perd cette performance. On le remarque surtout chez les femmes. Il ne faut pas oublier que la course à pied est non seulement une activité sportive mais en plus elle augmente l’espérance de vie, et de nous rendre plus fort et nous permet de rester en bonne santé.

Rien ne nous empêche de courir après 50ans.

La course à pied détient une aptitude d’acclimations au vieillissement. En fait, c’est une bonne nouvelle. Pourquoi encore hésiter ? Quel que soit votre âge courir est toujours possible. On remarque une diminution de courir actuellement. Il est important de continuer à faire la course ; même à un âge avancé. On voit encore des quinquagénaires et même plus participer au triathlon.  Cela nous montre que cette épreuve, peut être pratiquée par les personnes âgées. Il est clair que ceux qui aiment courir tiennent plus longtemps. Il est nécessaire de planifier à l’avance ce qu’on doit faire pour prévenir le vieillissement ceux qui commence dès leur jeune âge à pratiquer ce sport ne doivent pas s’arrêter une fois leur carrière terminé. Ils peuvent toujours continuer même s’ils ne participent plus à l’épreuve internationale. L’essentiel est de rester branché pour améliorer la santé et l’espérance de vie. Mais attention au fil des années, l’appareil qui permet de se déplacer et de courir peut s’user, par un accident ou d’une blessure quelconque ou la détérioration de celui-ci par son usage prolongé ainsi qu’aux maladies qui peuvent surgir telles que l’arthrose à cause d’une inattention particulière à son usage. Dès le début, il faut y prendre soin et ne pas outre passer ces pouvoirs c’est-à-dire allé au-delà de certaines limites. Par ailleurs, on peut aussi se laisser tenter par le progrès des matériels de sports actuels pour s’exercer même aprèscet âge, comme l’utilisation des tapis de course. C’est même recommandé dans ce cas, et pour plus d’informations sur le sujet, vous pouvez visiter le www.tapisdecourse.biz.

Continuer à courir modérément en fonction de votre  limite.

On sait que pratiquer la course rend fort les adeptes à cette discipline. Les principaux préceptes de cette activité est de travailler l’endurance, raffermir les muscles,  améliorer le fonctionnement du système cardiaque, garder la forme etc. En un seul mot, pour permettre de rester en pleine forme même durant la vieillesse. Le système de décompensation est bénéfique pour l’os qui signifie que chaque foulée peut entraîner de micro-traumatisme qui cause des cassures très fin dans les os. Mais aussitôt après  sa réparation, ils deviennent plus forts, et plus durs encore. La course à pied est bénéfique pour empêcher l’ostéoporose c’est-à-dire la diminution de la densité du tissu osseuse qui fragilise l’os. Le ralentissement musculaire dans son mouvement affaibli le manœuvre et sauve les articulations. Cette activité sportive a aussi ses désavantages et c’est certain. Chaque heurt peut faire souffrir le cartilage et ceci peut contribuer au développement de l’arthrose par contre le vélo conserve le bon fonctionnement du cartilage. L’usage excessif  du jogging est nocif pour la santé. Il faut être conscient du risque que peut provoquer les gestes déplacés. Chaque coureur doit agir avec attention durant l’épreuve  pour ne pas mettre fin à cette possibilité de pouvoir encore y faire. Et finalement plus on atteint un âge avancé plus les activités de course à pied doit être réduit.

Maintenant en état son appareil locomoteur en prenant toutes les mesures appropriées. Il vaut mieux prévenir que guérir. Au fil des années il ne faut pas trop abuser de son bon état. Il faut savoir limiter son endurance pour éviter sa détérioration totale et à l’avance car quand surviennent les problèmes il peut être un peu tard d’y remédier. Quand un problème survient il faut à tout prix arrêter de courir et s’occuper avec grand soin la blessure ou la maladie. Prévenir les problèmes, c’est le moins qu’on puisse faire mais que cela ne soit pas trop tard. Quand on est surtout à un âge avancé toutes éventualités sont possibles donc parfois il est difficile d’adopter une  prévoyance. Il est donc nécessaire de modérer l’entrainement en fonction de l’âge et selon l’aptitude de chaque individu. Voici quelque directives qui peuvent être utiles à ce genre de situation : accroître la fréquence de l’enjambée de l’athlète en fonction de sa compétence, diviser en parties séances, ne jamais courir en cas de fatigue, ne pas prolonger la durée de la course etc. ces recommandations sont faits pour le bien de l’athlète.

Beaucoup de chose sont encore obscures pour l’homme, surtout le fait de passer au stade du vieillissement mais en revanche vouloir continuer à garder sa performance de sa jeunesse : on ne reste pas toujours jeune. Il y a un temps où on est fort, et un temps où tout se détériore même votre corps et notre endurance.  C’est la loi de la nature, ce qu’il faut faire c’est se préparer à tout à l’avance et agir en fonction de cette évolution pour pouvoir s’y adapter facilement.